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La première réunion d’Unités Mixtes Internationales (UMI) du CNRS rassemblant les deux Amériques (Nord et Sud) s’est tenue les 25 et 26 avril 2017 à Mexico. Dix-sept UMI se sont rencontrées pour se découvrir et échanger sur les bénéfices des UMIs, vitrines de la recherche française qui offrent de réelles opportunités de développement entre partenaires scientifiques mais aussi industriels.
« L’UMI est le niveau de collaboration scientifique le plus élevé et le plus intégré que nous puissions entretenir avec une université ou un laboratoire étranger », rappelle Patrick Nédellec, directeur de la Direction Europe de la recherche et coopération internationale (DERCI).
Cet événement a réuni, pour la première fois, les UMIs et UMIFREs du continent américain, soit la moitié des UMIs mondiales. Il a été organisé par Xavier Morise, directeur du bureau du CNRS à Washington et son homologue Olivier Fudym du bureau de Rio de Janeiro, coordinateurs régionaux des collaborations et partenariats scientifiques. Pendant deux jours, près de 100 personnes – les directeurs, des chercheurs de ces laboratoires communs venus de six pays (Canada, Etats-Unis, Mexique, Chili, Argentine, Brésil), des conseillers scientifiques, des industriels, des représentants d’agences de financement internationales et une importante délégation de personnel encadrant du CNRS – ont pu échanger sur le rôle, l’avenir et l’importance croissante de cet outil de collaboration scientifique unique au monde qu’est l’UMI.
Cette rencontre a également été l’occasion d’inaugurer la création d’une nouvelle UMI en mathématiques, le Laboratoire SOlomon Lefschetz (UMI LASOL) et le renouvellement d’une UMI existant depuis 2008 en automatique : le LAboratoire Franco-Mexicain d’Informatique et d’Automatique (UMI LAFMIA) créé il y a plus de 9 ans.
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La primera reunión de las Unidades Mixtas Internacionales (UMI) del CNRS de las dos Américas (Norte y Sur) se celebró los días 25 y 26 de abril de 2017 en la Ciudad de México. Diecisiete UMI se reunieron para conocerse y discutir los beneficios de las UMI, exponentes de la investigación francesa que ofrecen oportunidades reales de desarrollo entre los socios científicos e industriales.
“Las UMIs representan el nivel más alto e integrado de colaboración científica que podemos mantener con una universidad o un laboratorio extranjero”, afirmó Patrick Nédellec, director de la Dirección Europea de Investigación y Cooperación Internacional (DERCI).
Este evento reunió por primera vez a las UMIs y UMIFREs del continente americano, es decir, a la mitad de las UMIs del mundo. Fue organizado por Xavier Morise, director de la oficina del CNRS en Washington y su par Olivier Fudym de la oficina de Río de Janeiro, coordinadores regionales de colaboraciones y asociaciones científicas. Durante dos días, cerca de cien personas, entre directores, investigadores de estos laboratorios conjuntos de seis países (Canadá, Estados Unidos, México, Chile, Argentina, Brasil), asesores científicos, industriales, representantes de organismos de financiación internacionales y una amplia delegación de personal de supervisión del CNRS, pudieron debatir el rol, el futuro y la creciente importancia de esta herramienta única de colaboración científica que es la UMI. El encuentro fue también la ocasión de inaugurar una nueva UMI en matemáticas, el Laboratorio SOlomon Lefschetz (UMI LASOL) y de celebrar la renovación de una UMI en automatización activa desde 2008: el Laboratoire Franco-Mexicain d’Informatique et d’Automatique (UMI LAFMIA), creado hace más de 9 años.